| Canton: | VD |
| Numéro de cas: | 2020/456 |
| Instance: | Kantonsgericht |
| Département: | Sozialversicherungsgericht |
| Date: | 04.06.2020 |
| Force de loi: | - |
| Résumé: | Un homme avec une malocclusion congénitale des jambes reçoit une pension d'invalidité car, en raison de son handicap, il n'est plus en mesure d'exercer sa profession de vendeur. Voici les détails en cinq phrases: L'homme est né avec une malocclusion congénitale des jambes. Le désalignement a entraîné une grave incapacité à marcher. L'homme ne pouvait donc plus exercer sa profession de vendeur. Il a demandé une pension d'invalidité. Le Tribunal des assurances lui a accordé la pension. Plus De Détails: L'homme avait un CFC comme vendeur. Il était père d'un enfant depuis 1998. Le désalignement a entraîné une différence de longueur de jambe de 10 cm. L'homme a été contraint de quitter son emploi car il n'était plus en mesure de S'acquitter de ses fonctions professionnelles. Base juridique: Art. 9 et 17, al. 2, de la loi fédérale sur L'assurance-invalidité (lai) Article 42 de la loi fédérale sur L'assurance - vieillesse et survivants (AVS) Art. 37 et 38, al. 1, de la loi fédérale sur la réadaptation et l'insertion professionnelle des personnes handicapées (RAI) |
| Règle de droit: | Art. 100 BGG;Art. 13 SchKG;Art. 17 SchKG;Art. 56 SchKG;Art. 60 SchKG;Art. 9 SchKG; |
| Référence BGE : | - |
| Commentaire: |
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